De nouveau à Veli Iz, pour se réapprovisionner en
De nouveau à Veli Iz, pour se réapprovisionner en eau et électricité après ces sept jours de vagabondages. Et comme Dame Dagmar le veut, aussitôt au resto, ici au Galija (la galère). La patronne regarde son mobile, la télé est allumée au fond, et….
De nouveau vers Pag, attiré par le spectacle des montagnes sur la mer.
L'île de Pag, très basse, est un faible barrage contre la Bora qui descend souvent des hauteurs derrière.
C'est toujours le pilote auto qui conduit.
Koslun, un des cents bouts du monde où nous jetons l'ancre.
Installation dans les bois pour deux petits et un très petit.
Dagi voudrait lcueillir ces figues de barbarie pour faire un jus de beauté, mais comme les orties, ça pique barbare!
Le Vaga est tellement plus grand, vu de très loin…
La dernière fois que nous sommes venus, un curieux espace carré avait été déboisé. On voit maintenant ce qu'ils y ont planté. Mais la nuit venue, aucune fenêtre de cde camp de loisirs ne s'allume.
Vous ne les voyez pas, mais des centaines de brebis divaguent sur cette île.
De ce côté, les maisons aussi sont très récentes, mais plus joilment disparates (non dues au désir d'un seul spéculateur).
Il manquait un coucher de soleil sur mes pages depuis quelques temps.
La douche quotidienne du capitaine (pas plus d'un litre et demi).
A Simuni, nous nous balladons sur les quais. Comment ça "Vagabundo" ? Du coup légèrement vexés, nous n'y sommes pas entrés.
Nous avons préféré cette terrasse de bistro-restaurant...
…dont la spécialité semble être le crépuscule couleur lilas.
Je m'aperçois que ces parasols repliés et dressés sont un brin phalliques. Mais bon, c'est sans doute moi qui hallucine.
Dès qu'on franchis l'épaisse bordure des bois qui ceinture les rivage, on trouve un fouillis inextricable de branches tombées sur le sol caillouteux qui empêche toute promenade. Une auto protection, en quelque sorte contre les divagations touristiques.
Nous sommes venus ici, à Simuni, par avis de vent 40-60 nds sur le Velibit Canal, juste derrière cette coline.
On y trouve aussi mon côté "Martigue 1960".
Nous allons être bloqués ici trois jours par "Windy" notre bible numérique et météorologique.