Journal de voyage de GALI & DAGI

1-Avant-dernier mouillage, trois jours dans  l'eau verte, à proximité de ce cabanon. Quel bel atelier de peinture ça ferait!

02-Nous allons à terre à la recherche du village d'Olib.

03-Une chapelle, Sveti Nikola est édifiée tout près de la rive.

04-Un chemin part dans les bois.

05-Il est bordé d'un lourd mur de pierres.

06-Des escaliers dans les murs mènent aux champs.

07-Nous passons devant une grande bâtisse.

08-Puis un carrefour international.

09-La place du village d'Olib.

10-Encore une maison à saisir…

11-Celle-ci est insaisissable.

12-Celle-là, déjà saisie.

13-Et une autre encore, muette.

14-Retour au rivage de la Luka Sveti Nikola, demain nous levons une dernière fois l'ancre.

15-Dernier mouillage, cette fois, sur coffre: devant nous cette curieuse porte monastique. Nous y avons vu débarquer un mystérieux zodiac mené par un gros monsieur avec une demi-douzaine de migrants, chacun avec son petit sac plastique…

16-Et nous voilà enfin au sec, après un long sillage de trois mois.

17-Je n'ai pas documenté le grutage et tout ce qui va avec, c'est un peu toujours pareil.

18-Un bon repas en compagnie imprévue d'un club nautique au complet.

19-A l'hôtel avec vue en attendant le ferry du lendemain matin.

20-Nous sommes amusés de voir le monde d'en haut, après des mois au ras de l'eau.

21-Ici, à Mali Losinj, nous avons laissé  le bateau, à la marina, quelque part derrière ce gros palmier.

22-A l'entrée de l'hôtel, il faut déposer les armes.

23-La route qui ramène à la marina... ce sera pour l'année prochaine.

24-Sur le pont du ferry.

25-A l'arrière.

26-Retour à trente nœuds, dix fois notre vitesse moyenne.

27-Escale à Ilovic.

28-Et ça repart!

29-Vous avez vu comme on a doublé ce voiler?

30-Escale à Silba.

31-Nouvelle chambre d'hôtel à Zadar, Sainte-Anastasie au bout de la rue.

32-Vue sur cour.

33-L'église Saint-Donat.

34-Au musée archéologique.

35-Faune bien calibré.

35-Cet ancien bien peigné a su conserver son appendice nasal, chose assez rare pour être signalée.

36-J'adore ce chevalier fissuré et "textué".

37-Sainte-Anastasie.

38-Intérieur de Sainte-Anastasie.

39-La crypte.

40-Dans un petit musée local une sorte de "montagne sainte-victoire" pas tout à fait Cézanienne, mais un peu fauve.

41-Portrait très salonard d'un mondain sûr de sa classe.

42-Là le fond est bien cézannien, mais la jeune femme n'a pas osé se déguiser en "baigneuse".

43-Un peu d'air frais zadarin, ou zadarois.

44-Fin des réjouissances nomades.

45-Paris, un petit tour à L'Ebouillanté.

46-Chez nous, avec Poula à la fenêtre.

47- Avec vue sur le petit "jardin de curé", pour passer l'hiver 23/24.

48-Mettez votre smartphone en "version ordinateur" (... en haut à droite) Cela vous permettra de voir la page entière et de faire défiler les images avec une flèche.

De nouveau à Veli Iz, pour se réapprovisionner en eau et électricité après ces sept jours de vagabondages. Et comme Dame Dagmar le veut, aussitôt au resto, ici au Galija (la galère). La patronne regarde son mobile, la télé est allumée au fond, et….

…Dagi siège dans la rue.

Et hop on repart.

De nouveau vers Pag, attiré par le spectacle des montagnes sur la mer.

L'île de Pag, très basse, est un faible barrage contre la Bora qui descend souvent des hauteurs derrière.

C'est toujours le pilote auto qui conduit.

Koslun, un des cents bouts du monde où nous jetons l'ancre.

Ici c'est comme la Grèce.

Installation  dans les bois pour deux petits et un très petit.

Dagi voudrait lcueillir ces figues de barbarie pour faire un jus de beauté, mais comme les orties, ça pique barbare!

Le Vaga est tellement plus grand, vu de très loin…

La dernière fois que nous sommes venus, un curieux espace carré avait été déboisé. On voit maintenant ce qu'ils y ont planté. Mais la nuit venue, aucune fenêtre de cde camp de loisirs ne s'allume.

Vous ne les voyez pas, mais des centaines de brebis divaguent sur cette île.

De ce côté, les maisons aussi sont très récentes, mais plus joilment disparates (non dues au désir d'un seul spéculateur).

Il manquait un coucher de soleil sur mes pages depuis quelques temps.

La douche quotidienne du capitaine (pas plus d'un litre et demi).

A Simuni, nous nous balladons sur les quais. Comment ça "Vagabundo" ? Du coup légèrement vexés, nous n'y sommes pas entrés.

Nous avons préféré cette terrasse de bistro-restaurant...

…dont la spécialité semble être le crépuscule couleur lilas.

Je m'aperçois que ces parasols repliés et dressés sont un brin phalliques. Mais bon, c'est sans doute moi qui hallucine.

Dès qu'on franchis l'épaisse bordure des bois qui ceinture les rivage, on trouve un fouillis inextricable de branches tombées sur le sol caillouteux qui empêche toute promenade. Une auto protection, en quelque sorte contre les divagations touristiques.

Nous sommes venus ici, à Simuni, par avis de vent 40-60 nds sur le Velibit Canal, juste derrière cette coline.

Simuni (autre bout du monde).

On y trouve aussi mon côté "Martigue 1960".

Nous allons être bloqués ici trois jours par "Windy" notre bible numérique et météorologique.

Paysage à la voile.

Foulard et teeshirt enfilés l'un sur l'autre par un matin frisquet.

Derrière nous, les mont de Dugi Otok.

Sur Uglian, l'anse de Prtljug où nous jouissons d'être seul sur notre coffre.

L'eau était ici un cristal.

Les petits cabanons de Prtljug.

Dagi installe sa petite plonge à leau de mer dans le cockpit à titre expérimental.

Grace à quoi nous avons tenu une semaine complète sans revenir sur un quai distributeur d'eau.

Un colossal barbecue signale qu'ici, en dépit des apparences, on mange gras.

Dagmar, en toute simplicité.

Le petit port de Knez, vu de notre mouillage.

Vagabund, vu de Knez.

Il y a de plus en plus de piétons, sur l'eau.

Nous aimons bien, quelquefois, nous rapprocher de la civilisation.

Knez offre une jolie carte postale et me fait penser à Martigues… il y a 60 ans.

Embouteillage sur le grand quai et notre ketch en arrière plan.

Bateau de pêche à la retraite.

J'accepte les petites berlines pas trop récentes sur mes photos.

Petit navire de pêche avec son parasol.

Atelier de maintenance des moteurs hors-bord hors les murs.

Le cargo de la soif, qui livre l'eau à toute l'île d'IZ.

Sans les coc otiers, mais comme aux Antilles.

Nous redescendons sur la mer.

Un dernier propriétaire de balustrade.

Sieste féline extensive.

Au bout de notre petit bassin.

VAGA l'eau.

VAGA l'âme.

Dagmar à sa meilleure place.

Oui! On voit notre bateau.

C'est ce qui s'appelle "un resto au bord de l'eau".

Il a amené son fauteuil pour attendre le ferry.

Vous voyez bien qu'on ne remue pas, à l'intérieur du bassin.

Au début, il n'y avait que nous. Mais ensuite, le préposé a fait entrer un voilier, suivi par une grosse vedette: comment sortir de ce piège?

Un yacht de croisière organisée.

Pour sortir de ce piège, nous avons du faire tout à la main d'un côté, à la gaffe de l'autre,  et en une demi-heure, avec l'aide de la grosse vedette, on s'est extirpé de là : on ne le refera plus!

BREBINJ, un hameau avec unquai.

Il y a encore quelques pêcheurs en Dalmatie.

C'est bien ici, même si ça s'écrit pas pareil.

Tellement de coins perdus qui seraient chez nous des perles de la Côte d'Azur.

Sur coffre, avec personne autour, à la mi-août.

Vous n'avez pas encore vu une photo du Vagabund?

Nous avons testé ici le mouillage "à la bermudienne", qui consiste à jeter son ancre sur l'avant puis de porter sur la rive une "stern line", (une amarre arrière) avec le canot - certain le font à la nage - que l'on frappe sur un rocher pointu comme cdelui-ci, ou autour d'un arbre.

Au moteur…

jusqu'à Zverinac, où le préposé du port nous force à nous enfourner dans un étroit bassin.

L'avantage, c'est d'être protégé contre les remous causés par le ferry trois fois par jour.

Ca permet aussi de belles images du VAGA pour nous, qui n'en sommes jamais lassés.

Derrière cette balustrade, une grosse villa dans le style ferrailleur romano d'après guerre.

Allez, encore une!

Une dernière.

Le bain des gamins.

Les parents sont en nage sur les quais... En vérité ils surveillent les méduses!

Cette demeure fermée nous attire. Un bonhomme nous explique qu'il y est né.

C'est la suite de celle-ci, qui appartenait à un patriarche vénitien.

Ces poutres ont 300 ans, nous dit-il. C'était la ferme domaniale de Zverinac, où se pressait toute l'huile d'olives de l'île.

Nous n'avons pas goûté s'il en reste dans ces tonneaux.

C'était dans les temps où il y avait un petit propriétaire pour 15 Km2 et peut-être le double ou le triple d'habitants (aujourd'hui 300, tous plus ou moins devenus propriétaires, beaucoup avec "balustrades").

Une pause cactus?

"Na-balote", pétanque nationale croate avec grosses bouboules.

Sur les hauteurs du village, les signes de la vie tranquille.

Tellement tranquille que parfois il n'y a plus personne.

Sur les jardins cultivés en terrasse.

Reposez ici en paix.

Chemin de pierres.

Celà menait les mules aux champs par dessus des murets.

Si on pouvait vendre les cailloux… Sous la couverture arboréé apparement luxuriante de toutes ces îles, il n'y a que de la roche effritée en champs de pierres. Les arbres ont poussé sur les maigres cultures abandonnées.

Mouillage sauvage à Veli Zal.

Un autre bateau nordique (Suédois) de 28" dont j'ai pu rêver il y a bien longtemps, mouillé près de nous.

Voisin également un vieux trawler et son équipage réuni au 2em étage.

Oui, l'eau est bien verte.

Invitation à barboter.

Le pain rassis fait des gros poissons avec les petits.

Les rives sont ici impénétrables, sauf pour les derniers lynx (Ris en croate).

Retour à Silba, nous y étions en 2019.

Par la forêt jusqu'au village.

Le sentier longe la mer.

…une partie ombragée,

et à la fin le soleil accablant.

Silba est une des rares village avec "un centre" toujours animé.

On peut s'installer dans un des deux cafés et attendre la lune. J'ai découvert que dans cette lîle ne circulent que les piétons, les voitures étant proscrites. Ce qui explique sans doute cette sorte d'envoûtement libérateur que nous retrouvons uniquement ici.

Nous avons eu une urgence à Silba, qui possède une infirmerie: Dagmar, piquée par une guèpe, a vu son bras tripler de volume. Une deuxième piqûre pour effacer la première, celle-là avec une seringue et un sérum anti-allergique.

Une sorte de tabernacle très richement illustré, remarquable dans l'église ouverte. (En France il ne durerait pas 24 heures).

Au sol des tombes, celle-ci d'un navigateur (?)

Celle-ci, hum, d'un pêcheur de sardines (?)

Chaque époque à la signalisation symbolique qu'elle peut.

00a-Nous sommes allés tout au bout d'un très long fiord, qui se termine par un minuscule canal percé par les romains, sous un pont qui ouvre une demi-heure le matin, une demi-heure le soir. Le village autour s'appelle OSOR. Devant, un ponton plus ou moins entretenu, où nous nous sommes amarrés.

Le campanile d'OSOR vu du ponton.

Ici beaucoup de maisons restaurent leurs murs sans les crépir.

On sens vite qu'on est dans un abri pour happy few.

Silencieux, chic et arboré.

Sur une bien jolie place...

...une belle maison pour deux!

Tous ces bronzes sont dus au plus renommé des sculpteurs, le Rodin de la Croatie, Yvan Mestrovic.

L'église présente une façade vénitienne bizare, un brin orientale (?)

Tendresse entre pierres et plantes.

Des bancs de pierre, bien nichés à l'ombre.

Les maisons muettes, les ruelles vides, personne ne bouge aux heures solaires, sauf nous, les crétins de touristes.

Ceci dit, c'est un métier agréable de se bagnauder sans rien foutre dans les plus chouettes endrfoits du monde!

Tiens, un berger joue de la flute travertiaire ici?

Et par quel instrument celui-ci veut-il nous charmer?

Si ça se trouve c'est juste un bavard, comme moi, agité des idées, de la langue et des bras!

Celui-là est très célèbre, sans aucun doute, pour avoir droit à une éternité si bien assise.

Question restos, Osor fait dans le sufait; nous avons préféré cette guinguette…où j'ai commandé par dépit un filet mignon, mais c'était la meilleure tranche de filet de bœuf que j'ai dégusté all over the world! Dagi semble avoir un peu "louché" dessus!

Nous avons peu de photos de mer, c'est une spécialité trop difficile.

Voilà Osor, vue de loin, bouchon incontournable de cette très long bras de mer. Nous sommes partis sans payer, faute de trouver un quelconque responsable du ponton.

Nous avons pris un mouillage solitaire à l'entrée de ce profond fiord d'Osor; juste à côté d'un autre mouillage, lui, réputé, ici vu de notre place.

En mer, nous navigons 4em âge, sans la grand voile, et c'est plus efficace dans les petits temps.

Partout dans le monde et très tôt dans l'histoire, les moines et les nones ont choisi les spots touristiques les plus spectaculaires... pour prier et méditer sur la misère du monde.

Nous arpentons maintenant les côtes de notre bassin d'îles préféré, Silba, Olib, Molat…

Nous débarquons en dinghy sur le chemin qui mène à la ville.

Sculptures marines.

A pieds vers la ville.

Terrien naviguant sur une pierre.

Vennelle, montagne, nuages.

Une des dix églises de Rab.

Une autre.

Cette Piéta m'avait déjà fasciné lors de notre première visite aqvec le Whisper.

Tenir un dieu mort dans ses bras !

Ce Saint-Christophe faunesque a lui la chance de balader un dieu bébé et plein d'avenir.

Paysage avec énigme au-dessus de l'eau.

Dagui consulte l'oracle "Maps" pour trouver une boulangerie.

Chapelle de Sainte Quiétude (si elle existe).

Venelle en escaliers.

Efigie d'un chevalier assez prétentieux.

La rue passante, près des quais.

Retour au dinghy par le parc de la ville.

Le Vagabund, très loin au fond de la baie.

Mieux visible ici ?

Allez, un dernier regard,

...der de der!

Revenus de Rab, vers Osor, nous mouillons face à un autre monastère.

Seul voisin, un ketch finnois lui aussi.

Retour sur Luka Kolorat et sa palette de crépuscules.

Et clic, et clac, cliche!

Et cloc, de jour aussi.

Deux ampoules rechargeable au soleil (une seule en état de marche)

Nous quittons le mouillage.

Nous longeons une côte sauvage.

Croisière à 2 mâts mais sans voiles.

Toujours une bricole qui cloche.

Eléments graphiques.

L'île de Rab est alpestre.

La ville, resplendissante.

L'imposant monastère.

Il y a un côté "lac de Côme" ici.

Rab, Rab, Rab…

Vous vouliez du rab?

Peut-on laisser passer des ciels pareils?

Oui ou non?

De l'autre côté ?

Moins spectaculaire, j'en conviens.

Revenons donc sur Rab.

Que d'inventions athmosphériques !

Encore et encore.

Le soir venu…

Nous rougeoyons (du verbe je rougeoie, tu rougeoies).

Nous passons par Losinj, espérant trouver ici un autre mécano capable de réparer notre pilote automatique. Nous avons barré jusqu'ici à tour de rôle, c'est plus prenant et plus crevant. On fait une route beaucoup plus sinueuse, donc plus longue, et le réglage des voiles est vérifié moins souvent.

Le quai des visiteurs de Losinj est souvent plein et exposé aux vagues de tous les bateaux qui nous passent au cul.

La ville, tout au fond du bassin, à 20 minutes à pieds.

ça y est, les mécanos sont là !

Ils s'activent. Ils finiront par trouver un modèle identique au notre qui traînait dans leur atelier depuis dix ans.

Losinj est une très ancienne station "climatique", entendez thérapeutique: personne (à part les pauvres pêcheurs)n'aurait eu l'idée de séjourner au bord de la mer si on n'y avait pas construit dès 1830 de magnifiques hôtels avec docteurs et infirmières agrémentés pour soulager les neurasthéniques et plus tard les tuberculeux fortunés!

Un très petit canal permet d'entrer et sortir, dans un fort courant qui en fait une attraction pour les baigneurs.

On distingue ici le courant du canal sortant de l'autre côté.

Ce voilier qui promet des aventures est resté sans emploi tout notre séjour: Le passage à l'euro a réduit drastiquement l'essor touristique, nous sembler-t-il.

Une halte dans un café.

Carte postale de Losinj.

Les façades de l'époque faste.

Autre carte postale.

Le repos de la guerrière.

Le quai était vide quand nous sommes arrivés à Losinj. On voit derrière une file de vedettes assoiffées de gasoil attendant leur tour à la sattion AVIA (invisible, à cinquante mètres sur la droite).

Un vieux passage entre les maisons pour éviter la route.

La promenade des "anglais" - très rares ici, en ex-terre autrichienne.

Profitez du poisson sans les odeurs (mais ils sentaient tous le frais).

Sous le parasol.

L'autre rive est bien plus calme, car sans magasins.

On ne saurait vraiment pas quoi en faire, mais je cherche toujours une maison, c'est compulsif.

Comme en Italie, un parcours de ruelles parallèles au quais.

Quelques anciennes demeures "patriarcales" (on a encore le droit de le dire, pour les bâtiments par ex.?).

Je me demande pourquoi on figurait des tritons chimériques sculptés sur les façades. Pour conjurer les mauvais sorts? Les tritons, comme les sirènes, parait-il, peuvent vous damner!

Dernière carte postale.

Une drôle d'église dans le goût mauresque avec son jardin abandonné.

Que se passe-t-il dans le ciel? Mauvais présage. Notre météo a été jusqu'à présent très instable. Un marais barométrique orageux stationnaire rend la navigation très incertaine.

Les grands pins qui ceinturent nos mouillages sont réconfortants. Mais d'autre espèces de feuillus sont en péril grave, attaqués mortellement semble-t-il par un parasite.

Notre palace flottant et la dame qui y règne (en partage).

On dit toujours "la mer est mauvaise". Mais la terre, hein?

Et ce ne sont que des photos. Lorsqu'on y est présent, on se demande: mais que me veut la Nature à m'halluciner?

Le dernier coffre, le plus enfoncé dans le fiord de Luka Kolorat.

Luka Kolorat est-il un peintre expressionniste abstrait?